Le projet

Aujourd’hui, le projet Solarzac c’est :

  • La réintroduction d’une activité agropastorale sur les parties du domaine présentant les plus faibles enjeux environnementaux,
  • La production locale d’énergie solaire, renouvelable, propre et durable,
  • La cession d’une partie des terrains aux communes et collectivités locales (supérieure à 70% de la zone),
  • Des conditions privilégiées d’achat de l’électricité pour le territoire.

Solarzac est un projet de parc agrivoltaïque sur le domaine de Calmels, domaine privé d’un peu plus de 700 ha sur la commune du Cros intégrée à la Communauté de Communes du Lodévois et Larzac et rattachée au Pays Cœur d’Hérault.

Ce projet est né de la vision d’un renouveau pour le domaine privé de Calmels, visant la réimplantation d’une exploitation agricole. Une vision qui s’inscrit dans un projet de parc agrivoltaïque qui conjugue un enjeu de réintroduction d’une activité agropastorale et des retombées économiques et sociales importantes pour le territoire et ses habitants.

A l’issue des phases d’études du territoire et de concertations publiques associant habitants et élus dans une démarche de co-construction, le projet Solarzac combine aujourd’hui des dimensions énergétiques, environnementales et humaines complémentaires, à même de répondre aux préoccupations du plus grand nombre : 
  • 151 ha de surface clôturée pour le parc agrivoltaïque (sur les 720 ha du domaine), divisés en 9 îlots (superficies entre 4 et 32 ha). 
  • 49 ha de surface projetée au sol pour les panneaux photovoltaïques, soit 32% de la surface du parc.
  • 116 MWc de puissance installée, pour une production moyenne annuelle de 175 GWh. Soit l’équivalent de la consommation annuelle de 80 000 habitants (hors chauffage).
  • La réintroduction et l’accompagnement à l’installation d’une activité agropastorale avec un élevage de 400 brebis.
  • La cession des terrains à la commune et à la Collectivité (hors îlots du parc agrivoltaïque). 
  • Des retombées économiques pour le territoire : tourisme vert avec l’ouverture des sentiers de randonnées et de parcours thématiques et des conditions privilégiées d’achat de l’électricité pour les collectivités du territoire. 

Un projet agrivoltaïque

Allier la réintroduction et l’accompagnement d’une activité agricole ovine locale à un projet de centrale photovoltaïque au sol sur le territoire du Lodévois et Larzac.

La volonté du territoire était de permettre l’installation d’un jeune agriculteur sur le site pour une activité d’élevage ovin viande. 

Arkolia s’est engagée à accompagner le projet et à apporter des garanties de pérennité à la nouvelle exploitation agricole, à travers l’assistance et l’accompagnement du cabinet spécialisé SOLAGRO. 

Le maître d’ouvrage s’est engagé à : 

  • établir une convention pluriannuelle de mise à disposition gratuite du foncier, 
  • signer un contrat d’entretien du parc photovoltaïque,
  • construire les bâtiments agricoles nécessaires à l’installation du jeune agriculteur.

Des actions complémentaires ont été prévues pour répondre au besoin fourrager hivernal du troupeau, à travers la préparation des sols sur des parcelles bien identifiées du domaine. Un diagnostic a validé les estimations de rendement fourrager nécessaire pour le projet. 

Arkolia s’est également engagée à adapter la disposition des panneaux, en hauteur et en espacement, pour faciliter l’entretien et le pâturage au sein des parcelles énergétiques. 

Enfin, il est convenu de maintenir la clôture périphérique du domaine afin de préserver les troupeaux des prédateurs, considérant la problématique du loup, récurrente sur cette zone du Lodévois et Larzac.

Un projet collaboratif

Depuis son origine en 2018, le projet s’est enrichi de visions croisées et s’est prêté aux règles de la concertation publique dès 2019. Ce dialogue territorial a permis d’aboutir à un projet à deux dimensions :

  • agricole et territorial d’une part, avec la réintroduction d’une activité agropastorale sur le site, 
  • énergétique et climatique d’autre part. 

Au-delà de la réhabilitation d’un domaine jusqu’alors dédié à la chasse privée et fermé au public, le projet agrivoltaïque Solarzac permet la réintroduction d’une activité agricole pérenne sur le domaine de Calmels. 

Il s’agit avant tout d’accompagner le projet agricole d’une jeune exploitante d’ovins installée à proximité sur la commune du Caylar depuis janvier 2024. Le projet agrivoltaïque de Solarzac lui permettra de sécuriser une superficie importante (les 151 ha clôturés du parc) pour son usage agricole et ainsi stabiliser son exploitation sur le long terme. 

Dès 2019, le maitre d’ouvrage Arkolia a souhaité encadrer le dialogue avec les différentes parties prenantes et notamment les riverains du projet, en proposant d’ouvrir une démarche de concertation publique sous l’égide de la Commission Nationale du Débat Public (CNDP). Un garant a ainsi accompagné les échanges et les concertations tout au long du projet.

Le processus de concertation a conduit le porteur de projet à faire réaliser des études complémentaires et à modifier son projet initial, notamment par la réduction de la surface du parc agrivoltaïque, l’adaptation du plan d’implantation des panneaux, l’approfondissement du volet agropastoral ou encore l’abandon du volet gaz vert par méthanisation. La dernière phase a consisté à travailler sur les conditions de mise en œuvre du projet agrivoltaïque et des mesures environnementales et paysagères (Septembre 2023).

Le projet ainsi révisé et amélioré par les différentes étapes de la concertation, a été déposé auprès des services de l’État du département de l’Hérault le mardi 7 mai 2024.

Un projet écologique

L’un des enjeux de Solarzac était de déterminer la meilleure implantation possible des panneaux, c’est à dire sur les zones présentant les plus faibles impacts environnementaux. Toutes les études sur la faune et la flore locales et les concertations conduites ont permis d’obtenir une vue précise et documentée des différentes zones. 

Les enjeux paysagers ont également été pris en compte, avec un état initial puis une étude approfondie menée une fois l’implantation définie, notamment au regard des statuts et labels portés par ce territoire qu’il est essentiel de préserver.

Les enjeux agricoles sont également au cœur du projet Solarzac. L’objectif d’Arkolia étant d’introduire une activité agricole pérenne profitable aux acteurs du territoire, véritable gage de l’implantation de la centrale en coactivité « agrivoltaïque ».

A l’automne 2023, dans le cadre du Comité de Suivi Thématique agricole visant à définir les modalités d’implantation d’une activité agricole, une agricultrice locale s’est fait connaître pour exploiter les terres du domaine en co-activité de la centrale photovoltaïque. 

L’environnement et les modalités d’implantation des installations photovoltaïques :

Suite à l’atelier participatif N°1 du 16 novembre 2021, l’implantation retenue pour le projet est une installation en plusieurs îlots, tirant parti de la topographie du site, minimisant de ce fait l’impact paysager. L’implantation regroupe l’installation photovoltaïque sur des secteurs présentant un moindre enjeu environnemental, au nord et au sud du domaine, sans dépasser une surface totale de 200 ha. Les terrains non utilisés pour la production d’énergie renouvelable seront réservés pour l’activité agropastorale et aux activités de préservation et de découverte de la faune et de la flore caractéristiques des Causses. 

Un projet local

Associer les élus et les habitants du territoire à la définition d’un projet bien intégré au paysage, assurant des retombées sociales, sociétales et environnementales positives.

Dès le départ, était évoquée l’ouverture au public des parties du domaine non concernées par l’implantation des panneaux, avec le retour des terres aux communes et collectivités du territoire. 

Arkolia s’est engagée à présenter, aux collectivités potentiellement acquéreuses, un montage financier avec un objectif de garantie de compensation du coût d’acquisition via le paiement d’un loyer d’exploitation. Cette action avait l’ambition de promouvoir auprès des Collectivités un projet de territoire permettant de faire rayonner les différentes activités développées sur le domaine.

Le maître d’ouvrage s’est par ailleurs engagé à soutenir l’accueil d’activités créatrices d’emplois et génératrices d’attractivité, des activités souhaitées par les Collectivités sur les zones exclues de production d’énergie. Les possibilités restent ouvertes.

Enfin, la réouverture du chemin GR traversant le domaine a été considérée, à travers l’aménagement de portails d’accès sécurisés aux points cardinaux du domaine.

10 questions au maître d’ouvrage

Le maître d’ouvrage apporte un éclairage sur les principaux questionnements abordés lors de la concertation et les évolutions du projet.

Comment le projet Solarzac s’inscrit-il dans la nouvelle réglementation induite par la loi APER ?

L’État a demandé aux élus locaux, au travers de la Loi APER en date du 10 mars 2023, d’identifier sur leur territoire des zones propices au développement des énergies renouvelables. Le site du futur projet Solarzac a ainsi été sélectionné par la commune de le Cros pour accueillir un projet agrivoltaïque à activité pastorale. Cette inscription doit être reprise dans le PLUi de la Communauté de Communes du Lodévois et Larzac comme un secteur à activité pastorale. De plus, le ScoT fixe l’objectif d’économiser l’énergie et valoriser son potentiel de développement économique » et prévoit également « le développement de la production d’énergies renouvelables ». Le développement de l’agrivoltaïsme n’était pas privilégié au moment de l’établissement du PCAET et du Scot, cependant, les récentes évolutions réglementaires (loi Aper du 10/03/2023) ont fait évoluer les règles d’implantation de projets solaires en synergie avec les activités agricoles. Aussi, le projet Solarzac apporte sa contribution à l’atteinte des objectifs du territoire en termes de développement des EnR.

Pour rappel, une installation agrivoltaïque, au sens de la loi APER, est une installation de production d’électricité utilisant l’énergie radiative du soleil et dont les modules sont situés sur une parcelle agricole où ils contribuent durablement à l’installation, au maintien ou au développement d’une production agricole. Les panneaux solaires doivent apporter, directement à la parcelle agricole, au moins l’un des 4 services suivants : 

  1. L’amélioration du potentiel et de l’impact agronomiques ; 
  2. L’adaptation au changement climatique ; 
  3. La protection contre les aléas ; 
  4. L’amélioration du bien-être animal.

Le projet Solarzac a été pensé de telle sorte qu’il apporte une plus-value aux conditions d’une activité agropastorale, et ainsi qu’il en favorise la pérennité :

  • L’amélioration du bien-être animal : les tables photovoltaïques constituent des abris pour les brebis pendant les aléas climatiques et permettent de réduire leur stress thermique. Même si l’abri principal reste la bergerie du projet, les tables et les modules photovoltaïques constituent des zones d’ombre et de protection face aux intempéries, réduisant les amplitudes thermiques pour les animaux. De plus, l’aménagement de l’ancienne bergerie existante de 1836m² contribuera à améliorer le bien-être animal et participe à l’activité agricole avec des aires de couchages, d’alimentation et de stockage adaptées à l’atelier ovin. 
  • La protection contre les aléas/adaptation au changement climatique : les modules ont un impact sur les zones pâturables, en raison de leur effet sur l’évapotranspiration. Ils instaurent un microclimat favorable à la pousse de l’herbe. Ainsi, en période de fortes chaleurs, ils diminuent la température et le rayonnement lumineux permettant une production fourragère plus régulière et mieux répartie dans l’année. Cela est d’autant plus vrai dans les zones où les conditions météorologiques sont plus extrêmes (sécheresse, gel ou enneigement), ces conditions défavorables étant atténuées grâce aux panneaux. 
  • Assurer la pérennité de l’activité agricole : le projet va permettre de sécuriser l’installation et le développement de l’exploitation agricole d’une jeune éleveuse, présente localement, en GAEC (Groupement Agricole d’Exploitation en Commun). Elle aura ainsi à disposition plus de 150 ha de terrains pâturables pendant toute la durée de l’exploitation, soit environ 30 ans. Et les ressources fourragères mises à disposition lui permettront d’avoir une autonomie alimentaire pour développer son activité sur le long terme. 

Le site d’implantation du projet est localisé au sein du paysage culturel de l’agropastoralisme méditerranéen (qui lui a valu un classement Unesco au patrimoine mondial de l’Humanité) et dans le Parc Naturel Régional des Grands Causses. Le projet se situe également à proximité du Grand site de France lié au Cirque de Navacelle. 

Voici comment nous avons pensé la cohérence du projet avec ces enjeux patrimoniaux : d’une part, le projet proposé s’est soigneusement éloigné du Cirque de Navacelle. D’autre part, il ambitionne la réintroduction d’une activité agropastorale et s’inscrit en plein dans les ambitions de préservation de l’Unesco avec la création d’une bergerie, la préservation des lavognes et l’aide à l’installation d’une éleveuse. Le projet agrivoltaïque repose donc sur la valorisation et la protection de l’espace caussenard, en visant le renouveau pastoral et le partage de la richesse au niveau du territoire.

Les impacts sur les oiseaux et habitats naturels ont été réduits au maximum, par application de la méthode « Eviter-Réduire-Compenser » définie dans l’étude d’impact. Ainsi, 80% du domaine étudié (de 720ha au départ) ont été évités par l’implantation finale du projet. Des impacts perdurent sur certaines espèces, malgré les mesures de réduction (voir le détail dans le Résumé Non Technique du projet . Parmi les espèces protégées concernées, plusieurs groupes sont représentés par :

  • L’aigle royal et la fauvette pitchou pour l’avifaune ;
  • Le pélobate cultripède pour les amphibiens ;
  • Le trèfle à fleurs blanches pour la flore ;
  • Le lézard à deux raies pour les reptiles.

L’atteinte à ces espèces a conduit à la mise en œuvre de compensations écologiques sur environ 300ha de surfaces. Plusieurs mesures de compensation sont prévues de telle sorte que les milieux soient favorables à la chasse ou à la nidification de ces espèces. L’une des mesures de compensation en faveur de la flore consiste en la création d’une zone de sanctuarisation mise en place au sein du site. 

Les retombées pour le territoire sont multiples, parmi lesquelles : 
  • Emplois directs et indirects d’entreprises locales lors de la phase des travaux, avec un surcroît d’activité sur le site (hébergement, restauration) ; 
  • Retombées économiques directes et indirectes par l’intermédiaire de taxes et impôts locaux (Imposition Forfaitaire sur les Entreprises de Réseaux (IFER), la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), la cotisation foncière des entreprises (CFE), taxe foncière… soit au total près de 841 000€ qui seront reversés, chaque année et durant 30 ans, à la commune, la communauté de commune et au département pour une surface agrivoltaïque de 150ha. 
  • Réappropriation de la maîtrise foncière par la commune de la zone du projet non utilisée par les activités agrivoltaïques, soit près de 570ha, dont une partie est concernée par des enjeux de préservation et de compensation écologiques.

Le dimensionnement du projet a été réalisé avec l’agricultrice candidate à l’exploitation future sur le site, et un bureau d’étude spécialisé. Fraichement installée début 2024 au Caylar, la jeune éleveuse était à la recherche de surfaces supplémentaires pour la pâture de son troupeau ovin. Le projet Solarzac prévoit le développement d’un atelier ovin avec la mise à disposition des parcelles du projet pour le pâturage des brebis, la mise à disposition d’une bergerie équipée et la mise à disposition de points d’eau pour l’abreuvage des bêtes sur le site. La présence de clôtures de 2m de hauteur permet également de protéger le troupeau contre d’éventuelles attaques de loup. L’espacement inter-tables et la hauteur des structures ont également été pensées pour le confort de la future exploitante sur le site. Des aires de contention et le positionnement des portails et des pistes ont été réfléchis en étroite collaboration. 

Les panneaux photovoltaïques ont un impact significatif sur la pousse d’herbe, comme le confirment les études de l’INRAe1*. Leur installation entraine une augmentation notable de la biomasse végétale sous leur ombrage, favorisant ainsi une amélioration de la qualité et quantité du fourrage disponible pour le bétail. De plus, les panneaux régulent l’humidité du sol et réduisent l’évapotranspiration, ce qui peut contribuer à une meilleure rétention d’eau, en particulier dans les zones sujettes à la sécheresse. 

* https://www.inrae.fr/dossiers/agriculture-forets-sources-denergie/lagrivoltaisme-voie-lavenir

Le territoire et les élus locaux ont la volonté de maintenir la clôture actuelle du domaine comme périmètre de sécurité, ceci à double titre. D’une part, afin de garantir la protection contre le loup au sein du site. D’autre part, pour préparer l’ouverture d’accès sur le domaine, qui seraient adaptés pour la mise en place et la pâture de certaines des zones de compensation et d’intérêt écologique.

Le projet Solarzac prévoit l’installation d’une clôture périphérique aux îlots de production pour prévenir toute intrusion. Il est prévu de privilégier les chemins déjà existants du domaine pour la création des pistes permettant d’accéder aux différents postes de transformation électriques, répartis sur les différents îlots clôturés de la centrale. Un poste de livraison, assurant la liaison entre le domaine privé et le domaine public, réceptionne l’ensemble de la production de la centrale agrivoltaïque qui est ensuite acheminé au réseau électrique par l’intermédiaire de câbles enterrés gérés par RTE.

Les modalités de communication et de concertation en place sont maintenues (site internet, newsletter) et seront complétées pour faciliter les échanges et la bonne information de tous. Le nouveau site internet, qui présente le projet résultant des différentes phases de co-construction, accompagne cette évolution. Une section sur la Concertation est créée. Le site rend également possible la consultation des documents sur le projet tel que le résumé non technique. Il intègre les informations liées à la mise en œuvre des comités thématiques de suivis menés ou à venir. Il en sera ainsi des Comités Partenariales de Suivi n°2 et n°3, portant respectivement sur le sujet de la cessation du foncier à la commune et des retombées économiques pour le territoire. La diffusion des Newsletters est poursuivie. Les dernières publications peuvent être consultés dans l’onglet Concertation. Les points intermédiaires avec la garante lors de l’instruction amèneront à la mise en ligne d’un rapport de la CNDP sur l’avancée du dossier.

Les étapes du projet

L’équipe

A chaque étape du projet, Arkolia a souhaité se donner les moyens d’entendre toutes les parties prenantes afin de coconstruire ce projet de parc agrivoltaïque et a souhaité prendre tout le temps nécessaire au maintien du dialogue dans le cadre d’une concertation ouverte et sincère. Son engagement a été confirmé par la constitution d’un Comité partenarial de suivi du projet, permettant d’associer tous les acteurs volontaires (représentants d’associations, élus, agriculteurs, habitants, etc.) dans les étapes à venir. 

Une équipe projet dédiée s’est engagée à animer les échanges et à conduire les études visant à donner des réponses argumentées aux différentes questions soulevées. 

Le projet Solarzac déposé auprès des services de l’État le mardi 7 mai 2024, est le fruit de ces années de travail et d’échanges avec les parties prenantes qui ont bien voulu s’impliquer, donner leurs avis et formuler leurs propositions. Qu’elles en soient ici chaleureusement remerciées.

Marie-Gabrielle Mollandin
Responsable Développement

Héloïse Joachim
Coordinatrice Développement

Romain Latchoumanin
Chef de projet Développement

Juan Marin
Chef de projet Développement